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Alastor Art
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24 octobre 2009

Fanfic Yugioh n°1

Ouf, je viens de terminer la saisie d'une fanfic Yugioh que j'ai écrite récemment... ^^
Bon, cela fait environ la quatrième fanfic que j'ai écrite dans ma vie, et la première que j'ose poster sur un blog : il y a des scènes explicites à l'intérieur... ^^"

Justement, comme il s'agit d'une fic yaoi, je la déconseille fortement aux gens qui n'aiment pas entendre parler de relations homosexuelles masculine mais aussi aux - de 16 ans.


Quand tombe la Neige

quandtombelaneige_s


    La neige tombait abondamment, Marik la regardait par la grande baie vitrée du salon. « Ça change des dunes de sables. » pensait-il. En effet, le jeune égyptien avait acheté un appartement en Sibérie, loin de tout, la ville la plus proche se situant à trois heures de route environ. Heureusement, Marik n'était pas seul : Rishido l'accompagna. Sa soeur, quant à elle, ne vivait plus avec son frère depuis l'adolescence et était dorénavant conservatrice du British Museum.

    Le radiateur était suffisamment chaud pour que Marik n’ai pas froid, vêtu d’un léger pull et de son jean beige. Quand il entendit sonner à la porte, il savait que ça ne pouvait être que Rishido, seulement, par précaution, il avait  verrouillé la porte après le départ de celui-ci. Marik alla lui ouvrir et aida Rishido a ramener les sachets remplis de provisions dans la cuisine. Dès qu’ils eurent fini de ranger les vivres, tous deux retournèrent dans le salon pour s’installer sur le canapé.

    Maintenant, le manteau blanc faisait plus d’un mètre. Marik feuilletait calmement le programme télé tandis que Rishido restait immobile mais empli d’arrières pensées. Soudain, sa main réagit timidement pour se poser sur la cuisse gauche de son voisin. Marik eu un frisson et s’éloigna sur le canapé.
- Non ! Rishido, non ! protesta-t-il.
Rishido fronça les sourcils.
- Maître Marik, je ne peux plus attendre, cela fait des années que je me retiens pour ne pas vous blesser.
Marik ignora complètement ces paroles, ou presque. Car cela l’agaçait de se faire encore appelé « Maître » par son fidèle compagnon.
- Pour subvenir à vos besoin, je continu de vendre illégalement de fausses cartes rares, cela nous rapporte beaucoup d’argent, alors je mérites une récompense, expliqua Rishido.
Encore une fois, Marik ignora la moitié des paroles en ne retenant que la manière d’être nommé : « Le vous, encore le vous... Quand je pense que je lui ai répété plusieurs fois que je préfère être tutoyé. ». Puis, il alluma la télévision avec la télécommande. Rishido, agacé par l’attitude indifférente de Marik, décida qu’il le prendrais, de grés ou de force.

    La télévision était bruyante, Marik baissa le son tout en continuant de fixer les prises de vue du documentaire animalier. Il sentit soudain une main se glisser sous son pull : Rishido lui caressait le dos.
- Mais... Rishido, cesse de me toucher à cet endroit ! râla Marik.
- Maître Marik, je sais que vous ressentez les mêmes sentiments envers moi. Cela fait trop longtemps que nous le voulons alors il est temps que ça se fasse.
- A... Arrête !!
Les doigts de Rishido jouait à présent avec les mamelons de Marik. Sans prévenir, une baffe s’abattit sur une de ses joues. « Je n’aurais pas du... » pensa Marik rouge comme une tomate. Rishido plaqua son compagnon sur le dos par l'énervement que ce geste avait produit en lui, tenant fortement les poignets de Marik d’une main. L’autre s’occupa d’abord d’enlever le pull de sa proie puis redescendit lentement le long du tronc pour plonger sous la ceinture. A ce moment, Marik sursauta.
- Arrrgh...
Marik se faisait masser son entrejambe par l’être qu’il chérissait le plus en ce monde : « Je me sens bizarre, c’est même agréable... ». A quoi bon se débattre ?
- Je t’aime Marik.
- Rishi...
Rishido lui coupa la parole à l’aide d’un baiser langoureux. Il avait enfin tutoyé son partenaire !
- Je vais vraiment le faire, affirma Rishido en enlevant son gros pull. Tu es prêt ?
- Non attends !
En quelques secondes, Rishido retira le jean de Marik, laissant apparaître le boxer du jeune homme, une bosse moulant le sous-vêtement. Marik était à présent rouge vermeille. Puis Rishido enleva le boxer, le sexe de son compagnon était fièrement dressé.
- Ne... Ne regarde pas ! ordonna Marik, honteux.
Ses jambes furent écartées par des bras puissants. Marik pouvait enfin se cacher le visage à l’aide de ses mains à présent libres.
- Quelle jolie couleur ici.
Marik se redressa sur ses coudes pour voir de quoi Rishido parlait.
- Rishido Nnn... Ouch !
Trop tard, un doigt se trouvait déjà à l’intérieur, la nouvelle sensation fut comme un choc électrique à Marik.
-Urg... Hm...
Deuxième doigt. Rishido caressa le visage de Marik pour rassurer celui-ci qui fermait les yeux. Enfin, les intrus se retirèrent, laissant le trou humide.
- Je t’aime Marik.
Encore cette phrase douce et directe. Marik tremblait de tout son être, paralysé par le plaisir. Lorsqu’il ouvrit les yeux, son regard cadra sur l’entrejambe de Rishido qui semblait presser fort contre le pantalon de celui-ci.
- Tu peux la sortir... dit Marik sur un ton plus que gêné. Met la moi s’il te plaît, qu’on en finisse.
- Bien sûr, Marik.
Rishido ouvrit sa fermeture éclair et son instrument, tel un colosse, surgit. Il ramena les hanches de son partenaire vers lui en les soulevant.
- Non ! Je ne veux pas !
Marik hésitait de nouveau, cela était inutile, Rishido était lancé. En un coup, son sexe fut dedans.
- Gaaaaaaah !!
Rishido pilonnait Marik sauvagement. « C’est tellement bon ! » pensait Marik même en ayant mal, c’était sa première fois après tout.
- Ri... Rishido !!
- Marik ! Tu es si serré !
Un liquide blanc gicla du sexe de Marik pour s’étaler sur son torse. deux secondes plus tard, Rishido jouissait en lui.

    Le crépuscule, la neige tombait toujours. La télévision demeurait encore allumée. Marik et Rishido la regardaient, se pelotant sous une grosse couverture.
- Dis, Rishido ?
- Oui, Maître Marik ?
- Excuses-moi, je ne sais plus ce que je voulais te dire.
« Il a repris ses formalités envers moi... » pensa Marik, exaspéré mais heureux de s’être lié plus intimement à ce compagnon qui le protège depuis sa naissance.

Fin.

Correctrice : anonyme --> que je remercie énormément pour ses efforts ! ^^

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