Voilà un Bakura plein de vie ! Une petite heure pour faire ce dessin à l'ordi, toujours sous Photoshop cs5.

Bon, je suis maintenant crevée... Ma tête tourne d'être sur l'ordinateur et j'ai encore mal au dos, mais voici deux fanarts pour cette nuit, faits à l'ordinateur justement, sous Photoshop cs5. Bonne nuit !

C'est vraiment rare que je dessine entièrement à l'ordinateur...

J'ai créer mon livre d'or, alors si vous le souhaitez, je vous invite à écrire un petit dedans.

Mon Livre d'Or ici

Sinon j'ai mis le lien dans colonne de droite... J'ai hâte de savoir ce que vous pensez de mon blog !
 

Pour ce décors je me suis inspiré d'un lieu réel, mais j'ai arrangé à ma façon n'ayant pas pris de photos de cet endroit... Je pourrais y retourner de toute façon, alors j'en prendrai plusieurs. Enfin juste pour dire que ce tunnel m'intrigue, il y fait tellement sombre, et visiblement peu de gens y ont déjà pénétré (n'en voyant pas l'intérêt).

Pour moi un tunnel cache beaucoup de mystères... Imaginez que cela fasse comme dans "Le Voyage de Chihiro" de Miyazaki et qu'il y ai un monde aussi dangereux que merveilleux de l'autre côté... Moi ça me fait rêver !

Nous sommes enfin en novembre ! Halloween est terminé. Mais c'est bizarre, une bande de jeunes (des ados quoi !) squattent sur le mur des voisins retraités d'en face, en plus ils m'ont vus quand j'étais dans la salle de bain... Ça m'apprendra à espionner !

Marik et Rishido

J'ai réalisé ce mini calendrier pour ma nouvelle bannière, à l'aquarelle.

A une heure du matin, en me baissant, j'ai ressentit comme une décharge électrique : une douleur horrible parcourais min dos (elle le fait encore). Je suis allée chez le médecin ce matin pour identifier ce mal et il s'agit d'une bonne contracture musculaire... Quelle horreur ! Allez courage ! Encore quelques jours de souffrance...

dessin fait à l'ordi

Je me suis défoulée à écrire cette fic depuis deux jours... Bon il y a encore des choses perverses dedans, yaoi à souhait ! Alors joyeux Halloween ! Cette fois c'est Bakura qui est de la partie !!

Résumé : Bakura est parti séjourné dans les Carpates pendant que la bande à Yûgi se trouve en Amérique. Mais lorsque la nuit tombe, une étrange calèche l'emmène dans un étrange château et le jeune homme tombe sous le charme du propriétaire de la demeure...

Nuit du 31 Octobre

  Qu'il faisait froid en cette nuit d'octobre, le combien déjà ? Trente et un octobre... Qu'elle idée de se balader par ce temps ! La pluie glaciale tombait sur mes vêtements, le vent du Nord soufflait en rafales, nul n'aurait osé, à part moi, se promener en montagne ce soir là. Une escapade dans les Carpates : mon rêve ! Cette chaîne montagneuse était peuplée de légendes et de superstitions emplies de magie et d'horreurs. Cela devait aussi plaire à mon hôte : Ryou adorait les histoires de fantôme. Ses amis l'avait abandonné en partant aux État-Unis sans le prévenir, le pauvre méritait donc un peu de pitié de ma part.

    Les bois étaient sombres, j’entendais les loups hurler. Une lumière apparaissait faiblement à travers les feuillages. Tout d’un coup, surprise, j’entendis vaguement le bruit de quelques chevaux courant à toute vitesse. Peu de temps après, j’étais tout étonné qu’une calèche s’arrêta devant moi, l’étrange cocher voilé d’un foulard et couvert un chapeau me fit signe de monter à bord du véhicule, je m’exécuta. Nous roulions à vive allure près d’un précipice, le conducteur devait avoir parcouru cet endroit des milliers de fois pour oser faire courir ses chevaux aussi vite sur une route aussi abrupte. Au bout d’une demi heure environ, nous arrivâmes devant une grande arche de briques grises. La calèche s’arrêta, puis repartit une fois que j’eus pieds à terre.

    Ma montre indiquait dix neuf heures. J’observais quelques chauve-souris abritées sous une des nombreuses gouttières de château délabrés. C’était étonnant comme elles restaient accrochées à l’envers, j’appréciais leurs petits cris stridents. Quand mon regard se posa sur ce qui semblait être la porte d’entrée, je vis un homme, sûrement le propriétaire des lieux. Encore une fois, il m’invita à entrer. Je pénétrais dans l’immense demeure avec prudence, je ressentait les ténèbres vibrer dans les mur de se château : une sensation merveilleuse !
- Merci. dis-je calmement à l’homme qui restait immobile.
- Cela ne me procure que du bonheur d’avoir de la compagnie, surtout d’un si beau jeune homme.
Bizarre comme réflexion. Je le scrutait en fronçant les sourcils, et pus alors, grâce aux chandeliers lumineux qui ornaient le plafond, voir tout les détails de son physique. Il était grand tout de noir vêtu, chemise et pantalon, son teint blafard était surnaturel ainsi que ses yeux qui semblaient rouges avec cet éclairage, ses cheveux courts étaient quand à eux d’un noir d’ébène, plaqués soigneusement par du gel. En bref, c’était un homme élégant.

        L’inconnu m’invita à m’asseoir à sa table sur laquelle était posé de nombreux plats. C’était clair : il attendait ma venue. Il commença alors à me raconter sa vie, le curieux personnage s’appelait Vlad, il était issu d’une famille noble et en était le dernier descendant, sa solitude le déprimait de plus en plus au fils des années qui passaient. Je l’écoutait en dégustant ce succulent dîner tout en buvant du vin importer de France, l’homme ne se sustentait de rien, probablement avait-il déjà pris son repas, tout cela demeurait fort étrange. Je me rendit compte d’avoir oublié d’enlever ma long anorak trempé alors je me levais pour trouver un endroit pour l’accrocher : mon hôte s’en chargea. Il recula en voyant mon anneau millénaire.
- Qu’est-ce que c’est ? me demanda-t-il avec son accent roumain.
- Un pendentif qui m’est précieux, je ne m’en sépare jamais.
Je ne lui révèlerais sûrement pas l’histoire des objets millénaires que je convoites tant !

    Vingt et une heure sonna. L’homme eu la gentillesse de me montrer la chambre dans laquelle je passerais la nuit. Je sentais les jambes du corps de Ryou trembler de fatigue alors j’enlevais mon T-shirt ainsi que mes chaussures et mes chaussettes pour me mettre directement au lit : inutile d’enfiler le pyjama poser sur une chaise pour une seule nuit. Un sommeil de plomb envahit tout mon être.

    Je me sentais tellement bien sous cette chaude couverture. Je me réveillait, mais beaucoup trop tôt. En allumant ma montre digitale je pus lire vingt trois heures. Je changeait alors de côté pour me rendormir : quelle ne fut pas ma surprise en voyant Vlad, couché près de moi, m’observant de ses brillants !
- Que faites-vous là ?! criai-je surpris.
- Vous êtes dans mon lit.
- Comment votre lit ?
Je me redressais pour regarder le décors qui nous entouraient, il s’agissait bien de la chambre qu’il m’avait montrer.
- Je n’avais pas le choix, cette chambre qui est la mienne est la seule qui soit salubre de toutes celles du château.
Cette excuse me parraissait plus que louche. d’un geste vif, sa main me caressa légèrement la joue.
- Tu ne crois tout de même pas que ton séjour dans ma propre demeure est gratuite, jeune homme ? dit-il sur un ton sombre.
- Vous ne m’aviez pas dis que c’était payant. répliquais-je avec un sourire en coin. J’ignores ce que vous voulez de moi, mais je crois que vous me sous-estimer grandement.
Vlad pris un air étonné puis émit un rire sonore. Sa bouche ouverte me permit de constater à quel point ses canines étaient longues et pointues, toute de suite je pensai à quel monstre pouvais bien se trouver à côté de moi : un vampire. Je me levais d’un bond, l’anneau millénaire me donnait certains pouvoirs mais j’ignorais si cela marcherais contre ce démon alors mieux valait fuir.

    Aussitôt que j’approchais de la porte, celle-ci se verrouilla comme par magie, Vlad était déjà debout, marchant vers moi. « Cling » Je tentais de le plaquer contre le mur à l’aide de mon objet millénaire mais rien ne se passa. J’essayais alors de défoncer la porte mais celle-ci semblait s’être transformée en mur, impossible de sortir de là ! J’étais à présent coincé, entre cette fichue porte et le buveur de sang.

    Une ses mains plongeait dans mes cheveux blancs, je frissonnait : c’était la fin. Ce monstre allait sucer mon sang jusqu’à la mort. Mais au lieu de s’attaquer à mon cou, il me mordit les lèvres et en profita, à ma grande surprise, pour m’embrasser. Je le repoussais soudainement.
- Quel genre de vampire es-tu ?
Il ne me répondit pas : nouveau baiser. Il rougissait, moi je restait complètement stoïque aux assauts maladroits de sa langue dans ma bouche. Je n’avais jamais vu quelqu’un si prendre aussi mal ! Profitant de sa concentration je le pris par les cheveux pour qu’il respire et le força à s’agenouiller devant moi.
- Non mais regardez-moi ce soumis ! dis-je en soupirant.
Alors Vlad ouvrit ma braguette : ce gars était visiblement en manque. Il commença à me sucer, aussi maladroitement que pour les baisers, tout en me parlant d’une voix étouffée :
- Fela fait fellement longtemps, Fa fait du bien.
- Sois tu me suce, sois tu parle, mais pas les deux à la fois !

    Je m’impatientais bientôt : il se débrouillait tellement mal ! Alors je le pris à nouveau par les cheveux pour le plaquer à plat ventre sur lit. Je me servit de sa ceinture pour lui ligoter les mains derrière le dos : il ne se débattit même pas ! Quel ennui !
- J’ai une question, commençais-je, te rends-tu compte de ta position ?
- Ça m’est égal, du moment que tu me fais jouir.
Ce vampire osait me provoquer ! Alors sans plus tarder je lui baissa son pantalon : l’enfoiré n’avait même pas de sous-vêtement ! Et d’un seul coup, mon sexe rentra dans son trou : Vlad hurla de plaisir. Je m’efforçais d’être le plus brusque possible mais impossible de lui faire mal : il adorait ça ! Je ne pouvais plus me retenir, j’allais jouir en lui. Il gémit soudain : je crois qu’il éjacula contre le tissu intérieur de son pantalon. Alors je me lâchait à mon tour en me laissant tomber sur lui tout en lui tenant fortement les hanches.

    Minuit était passé lorsque je me réveillai pour la seconde fois de la nuit. Je me levai pour remettre mon T-shirt et je sentit quelque chose sur mon coup : Vlad m’avait quand même pris un peu de sang mais peu importais. D’ailleurs, où il était passé celui-là ? La porte de la chambre était ouverte, je prononça alors son nom, cela résonna dans tout le château : rien. Je descendait dans la salle à manger de la veille et m’assoyais sur l’une des grosses chaises en bois. je regardai ma montre : une heure. Le vampire devait sûrement être en train de chasser.

    Un claquement de porte soudain me fit sursauter : Vlad était rentrer, trempé par la pluie torrentielle qui s’abattait à présent sur la région. Qu’il faisait pitié dans ses vêtements mouillés ! pendant qu’il retirait son long manteau, j’allais cherché la sorte de cape se trouvant le canapé du salon. J’essuyai mon hôte avec, cette douceur ne me ressemblait pas. Je fis style de remonter me coucher mais Vlad m’entoura de ses bras comme pour me dire de rester.
- Tu en veux encore ? lui demandai-je.
Il me répondit oui d’un signe de tête, nous nous comprenions instinctivement. Alors je le portai dans mes bras, bien qu’il était plus grand que moi, il était bizarrement plus léger. J’allais le faire s’asseoir sur moi sur le canapé, au salon, son dos face à moi.
- Hum, je t’aime Bakura !
C’est vrai, j’avais oublié d’avoir révélé mon nom pendant le dîner, ses mots me firent frissonner...

    Après nos ébats amoureux je m’endormis jusqu’à l’aube à ses côtés mais lorsque je me réveilla, il n’était plus là. Le jour s’était levé et les vampires craignent fortement la lumière du soleil, c’est bien connu. J’allai remettre mes vêtements dans la chambre et redescendit pour quitter définitivement cet endroit. Un papier s’était glissé dans mon jean : « Merci de m’avoir ouvert ton cœur. Vlad. ». Je pris ma veste et sortis : il ne pleuvait plus. Ainsi s’était achever mon voyage, je devais à présent retourner au Japon, à Domino City. Une vengeance de trois mille ans m’attendait dans le musée de la ville, dans le musée de la ville...

Fin.

Bon, voilà les idées morbides que j'ai quand je vois des photos de citrouilles... Vous en savez un peu plus sur la Kunoichi d'Oto no Kuni comme ça.

Sombre Jardin


D'un jardin de fleurs
Mon regard s'est épris
Des narcisses et des pavots
D'un noir éternel,
D'une couleur ébène,
D'une beauté de désespoir,
Jonchent le sol granuleux

Un chemin tortueux
M'empêche à présent d'avancer
Car tout ce j'entreprends
J'ai la fâcheuse habitude
De le perdre,
Car le destin est comme ça,
Il nous barre la route,
Dans ce jardin qu'est la vie...

Halloween, c'est déjà samedi ! Mais j'avoue ne pas apprécier particulièrement cette fête, en réalité j'aime surtout les légendes et les créatures qui l'entoure !